Pas simple, parce que je n’ai pas de souvenirs conscients et
clairs de cette année-là non plus…
Il n’empêche que quelques faits sont marquants en 1987 pour
mon orientation musicale.
1987, c’est l’année de sortie de l’album Joshua Tree du
groupe U2. Évidemment cet album reste mythique pour beaucoup de monde, et je ne
suis donc pas la seule à l’apprécier. Sur
Joshua Tree, on trouve notamment « With or without you », chanson qui
frôle à mon sens la perfection, et vu son succès, je ne dois pas être la seule
à le penser.
Cette chanson maintenant me fait penser au film « Je
vais bien ne t’en fais pas », car elle fait partie de la BO, alors quand
je l’écoute, je vois la tête déconfite de Cluzet, et du coup, ça ajoute un peu
de drame à la situation.
J’ai toujours eu de l’affection pour le groupe U2, même si
je ne suis pas fan absolue. Mais je dois dire que ça s’est renforcé depuis que
j’ai vécu en Irlande. Parce qu’en dehors de « With or without you» et
la tête de Cluzet, les autres titres de U2 m’évoquent plutôt les vertes vallées
d’Irlande, la bière dans les pubs, O Connel Street à Dublin… Bref, une période
bien sympa de ma vie.
1987, c’est aussi l’année où Dalida met fin à ses jours (le
3 mars). Ce qui m’oblige à lui rendre un petit hommage en avouant un de mes
pêchés mignons de conductrice ultra kitsch. Je confesse donc que, oui, quand je
fais un long trajet (ou même un peu pas long…). J’aime bien écouter Nostalgie
à la radio. Et une fois sur deux, ça manque pas, on tombe sur Dalida. C’est
comme parier qu’on entendra du Hélène Ségara sur Chérie FM quoi.
Alors voilà, quand Dalida passe à la radio, je ne peux pas m’empêcher
de chanter. Faux, évidemment. C’est pour ça que je ne me produis que dans la
voiture. Et que quand je suis seule…
Et puis 1987, c’est aussi l’occasion de faire une petite
dédicace à mon Prince G qui partage ma vie. Car c’est l’année où sort SA
chanson de « geek-avec-parfois-mais-rarement-quand-même-mauvais-goût ».
J’ai nommé le « Final Countdown » d’Europe.
Attention, ça pique toujours autant les oreilles, et avec le
clip, ça pique même les yeux. C’est l’une des seules chansons des années 80 qu’il
sauverait… Bon, moi je préfèrerais qu’il s’abstienne.
Mais allez j’avoue, elle me fait quand même marrer moi
aussi.
Allez hop, à bientôt pour 1988 !
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